Trois parties.
D'abords, en quelque sorte « à
l'extérieur », les « prières au bas de l'autel »,
avant que le célébrant n'y monte (sur la structure de cette parie,
cf. "L'encadrement" des éléments de la messe).
À l'opposé, la dernière partie,
constituée essentiellement par la lectures de textes sacrés (et
aussi par le Credo et l'homélie quand il y a lieu), est pour
ainsi dire « doctrinale » : inutile de souligner le
lien de la « Doctrine » avec la « Connaissance »,
et c'est alors surtout que sont récitées les Paroles mêmes de
Notre-Seigneur.
Entre les deux, et comme un pont entre ces deux parties extrêmes, il y a les chants du Kyrie et du Gloria, chants d'implorations et de louanges, par lesquelles monte la Louange et descend la Miséricorde (cf. À propos des deux saint Jean).[1]
D'autre
part, cette structure se retrouve d'une certaine façon dans la
dernière des trois parties, qui est essentiellement constituée
par deux lectures, dont la première, dans la perspective chrétienne
du moins, est relativement « extérieure » par rapport à
la seconde, celle de l'Évangile, donc des Paroles proférées par le
Christ ; et entre ces deux lectures, il y a les chants du
Graduel et de l'Alleluia.
[1] L'encencement de l'autel est naturellement à sa place ici, comme il l'est aussi, par ailleurs, à l'Offertoire, et comme le sont aussi, à leurs places respectives, ceux de l'Évangile et des offrandes (ce dernier à la Concécration).
[1] L'encencement de l'autel est naturellement à sa place ici, comme il l'est aussi, par ailleurs, à l'Offertoire, et comme le sont aussi, à leurs places respectives, ceux de l'Évangile et des offrandes (ce dernier à la Concécration).
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