Ceci dit, notons que l’Offertoire est encadré par une antienne
introductive et la Secrète ; que le Canon est introduit par la Préface et le Sanctus[2], puis conclu par le Per ipsum ;
que la Communion est ouverte par le Pater et fermée par l’ensemble qui va de la
postcommunion au dernier évangile, cet ensemble concluant également la messe toute
entière.
Quant aux "prières au bas de l’autel", qui ouvrent toute la messe (Asperges excepté le dimanche), il est essentiellement constitué par une partie centrale, le Confiteor, encadré par un psaume introductif et un court ensemble de formules conclusives ; le Kyrie et le Gloria sont encadrés par l’Introït et la Collecte ; et enfin, les lectures de l’épître et de l’Évangile sont encadrées par certaines des formules que nous avons rappelées plus haut.
Quant aux "prières au bas de l’autel", qui ouvrent toute la messe (Asperges excepté le dimanche), il est essentiellement constitué par une partie centrale, le Confiteor, encadré par un psaume introductif et un court ensemble de formules conclusives ; le Kyrie et le Gloria sont encadrés par l’Introït et la Collecte ; et enfin, les lectures de l’épître et de l’Évangile sont encadrées par certaines des formules que nous avons rappelées plus haut.
[1] Il faut préciser que beaucoup de ces formules, et notamment celle-ci (cf. Travail initiatique collectif et "présence" spirituelle), ont par ailleurs un rôle bien plus profond que celui que nous indiquons ici.
[2] Sur la place du Sanctus dans la structure générale de la Messe, Cf. Signification de la structure tripartite de la liturgie eucharistique, note 6.
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